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Un éclair de génie ? Au début, il y avait l’idée
Un éclair de génie ? Au début, il y avait l’idée
Fort esprit d’innovation et grande passion : en Suisse, environ 400 start-up voient le jour chaque année, dont presque 100 en tant que spin-off académiques directs. Les start-up suisses profitent de l’excellent paysage académique, justement dans le domaine technique. Mais tout commence d’abord par une idée. D’où vient-elle ? Qu’est-ce qui lui donne son envol ? Et qu’est-ce qui fait à la fin qu’une idée a plus de succès qu’une autre ? Nous avons mis le paysage des start-up en lumière et avons interrogé quatre nouvelles start-up prometteuses de la branche tech.
LOGISTIQUE
Matthew Reali, cofondateur de PONERA GROUP, ne voulait pas seulement améliorer, mais révolutionner. Son idée ? Des emballages réutilisables et modulables du style légo.
Marie Didier, fondatrice de MATIS, a développé une solution qui aide les spécialistes dans l’authentification de tableaux. Ses conseils aux nouveaux fondateurs d’entreprise ? Bien dormir, faire confiance aux bonnes personnes et demander si l’on ne sait plus quoi faire.
Pau Molas-Roca, cofondateur de Coactum SA veut mettre en place des transports publics dans l’espace comme sur terre. Outre une bonne idée, des recherches approfondies et des moyens financiers, il a fallu beaucoup de détermination pour faire décoller l’idée.
Florian Hänni, cofondateur de G-ELEMENTS, révolutionne la tradition de la rectification cylindrique. Alors que de nombreuses rectifieuses de précision sont présentées comme des « nouveautés mondiales », la sienne l’est effectivement.
